Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Bernard Maingot
  • : Articles et photos : Actualité sur le canton de Saint-Jean d'Angély (17400), Saintonge, Aunis, sujets divers.
  • Contact

Profil

  • Bernard Maingot
  • Correspondant de presse. Curieux et passionné, j'aime la photographie, l'écriture et transmettre aux autres ce qui m'attire. "On se lasse de tout, excepté d'apprendre" (Virgile).
  • Correspondant de presse. Curieux et passionné, j'aime la photographie, l'écriture et transmettre aux autres ce qui m'attire. "On se lasse de tout, excepté d'apprendre" (Virgile).

Visiteurs

 

Recherche

Piqûre de rappel

Article L 111-1 du code de

la propriété intellectuelle  

------------ 

Photographe ou gratte-papier,

La Loi protège l’auteur.

Celui qui vient copier

Devient mon débiteur

Bernard Maingot

Archives

15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 19:02

» Lorsqu'un chêne sent le sapin, il sait que sa dernière heure est arrivée. [Raymond Devos]

Mercredi 15 décembre 2010 - Billet 2307

SAINT-JEAN-D’ANGÉLY

Merci à Serge Haupaix

qui m’envoie de l’humour

(car j’en manque un peu quand il fait froid)

HUMOUR La maîtresse a lu une dictée. Le petit Benoît a bien écouté. Il a écrit exactement ce qu’il a entendu. Pourtant, le résultat est inattendu !

» transmis par Serge Haupaix, un ex angérien qui habite maintenant le Sud Est

 

La dictée de la maîtresse

La dictée écrite par Benoît

 

Dans la cuisine du vieux chalet, un ravioli, au fond d’un petit poêlon, réchauffe. Et il dore sous une couche de gruyère râpé.

Le vieux chalet est bien tranquille. Pour le dîner, tout sera grillé, appétissant, fondant ! Le fromage est posé sur un plat ravissant. Sans doute, et d’une bouchée, il sera avalé ! Le saucisson, gras et bien tendre, sera coupé en rondelles. Et, servi sur un plateau, le chocolat bout. Le verser sera délicat et dangereux ! D’un seul coup, il écume et gorge le chalet d’un bon et tranquille parfum.

 

Dans la cuisine du vieux chat laid, un rat vit au lit, au fond d’un petit poêle long. Réchauffé, il dort sous une couche de gruyère râpé.

Le vieux chat laid est bien tranquille : pour le dîner, tout ce rat, gris et appétissant, fond dans le fromage. Et posé sur un plat, ravi, sans s’en douter, d’une bouchée, il sera avalé ! Le sot, si son gras est bien tendre, sera coupé en rondelles et servi sur un plat. Oh ! le choc ! holà ! Bouleversé ce rat délicat est dangereux ! D’un seul coup, il écume, égorge le chat laid d’un bond et tranquille, part.
Fin

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

I
<br /> <br /> Que se passe-t-il ? Je n'ai vu aucun article publié depuis cinq jours (le 15 décembre)...<br /> <br /> <br /> Etes-vous en vacances ? Malade ? Absent ? En panne d'idées ou d'informatique ?<br /> <br /> <br /> Rassurez-nous car nous nous étions habitués à une production plutôt prolifique (si j'ai bien lu, le dernier billet porte le numéro 2307) pour un blog qui a trois ans.<br /> <br /> <br /> Merci d'une réponse.<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> sans doute un coup de blues... ça devrait revenir, à moins que je n'arrête.<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> Désolé de vous inportuner une fois de plus mais je ne peux résister à votre titre car en ce qui concerne l'humour vous en manquez même quand il fait chaud !<br /> <br /> <br /> Bonne continuation<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> Résistez, mais résistez encore ! Vous en êtes capable quand vous voulez ! Ce n’est pas un titre qui<br /> doit vous accrocher à ce point et vous empêcher de résister. (ce n'est pas de l'humour, c'est ce que je pense sérieusement). Et ne répondez pas : "Mais à quel titre devrais-je résister<br /> ?"<br /> <br /> <br /> Evidemment vous convainquez fortement en disant que vous êtes désolé. Et chacun est attristé de cette<br /> désolation que vous exprimez.<br /> <br /> <br /> Concernant l'humour qui manque, vous avez raison : c'est d'ailleurs dit dans le sous-titre. Et je vous<br /> réserve la même formulation dans six mois, quand il fera chaud...  <br /> <br /> <br /> Je suppose que vous avez su résister également au contenu de la dictée dont je ne suis pas l'auteur. Si on<br /> vous écoute, il faudrait supprimer tout ce qui ne vous plaît pas dans le blog, alors que d'autres circulent ailleurs sans rien dire <br /> « importuner une fois de plus ». Je ne vous demande pas d'aval sur les écrits (j'écris en amont), quoique cela changerait - pour une fois - des avis constamment négatifs que vous<br /> pouvez émettre sans jamais rien proposer de constructif. Dommage, je suis persuadé que vous en êtes capable.<br /> <br /> <br /> Quand la trêve arrivera, le commentaire tu<br /> publieras<br /> <br /> <br /> C'est comme le petit garçon qui était constamment méchant tous azimuts et à qui l'on dit : "Où elle est<br /> cachée ta gentillesse ?" Et il ne répondait pas, bien qu’il en avait quelque part, enfouie dans un magma d’insatisfactions perpétuelles et de récriminations systématiques.<br /> <br /> <br /> Allez, sans rancune ! D’ailleurs, comme c’est bientôt Noël et le moment de faire une trêve, je vous<br /> fais une pub gratuite (que 700 personnes vont lire) en publiant votre texte qui est toujours anonyme et qui n’a rien ajouté au Schmilblick. La maison ne recule devant aucun sacrifice :<br /> ainsi, au bout de 10 envois au moins de votre part, vous avez eu à la 11e gratuite. J’espère aussi que nous aurons droit à d’autres commentaires (de lecteurs, pas de vous). Un jour,<br /> vous aurez le courage de signer vos dires. Cela deviendra plus constructif. Ça nous intéresserait assez de voir des idées nouvelles savamment élaborées mais surtout constructrices pour faire<br /> avancer les choses. « Yaka faucon », disait un responsable avant d’être mis au placard.<br /> <br /> <br /> <br />