Distraction avec cet article resté en brouillon... Apparemment l'auteur est de la même facture !
Le 4 décembre 2008
MUNICIPALITE - COMMERCE ANGERIEN
Notes diverses sur le commerce angérien
» Bernard MAINGOT.
Sur 200 personnes présentes, 150 commerçants se sont rendus à l’invitation du maire, lundi 24 novembre 2008
Le maire veut "redynamiser le commerce"
La municipalité a souhaité organiser une réunion de travail sur l’animation du commerce à Saint-Jean-d’Angély. Les commerçants, artisans, prestataires de service et professions libérales se sont réunis lundi 24 novembre à 10 h, salle Aliénor-d‘Aquitaine.
Le maire Paul-henri Denieuil à souhaité organiser une réunion de travail sur l’animation du commerce à Saint-Jean-d’Angély. Celle-ci s’est déroulée, en présence de Jean-Claude Delaune, président de la CCI de Rochefort, Jean Doignon, président de la Chambre des métiers et l’artisanat de la Charente Maritime, Jacques Javalot, président de C2A, l’association des commerçants de Saint-Jean d’Angély et de Christian Damour, président de l’UCIAS, l’association des commerçants de Surgères.
Robert Dipard, adjoint, remerciant les 200 personnes présentes, a donné le résultat de l’enquête faite auprès des commerçants concernant leurs préoccupations.
Par ordre de priorité, elles sont les suivantes : aménagement du centre-ville, stationnement, plan de circulation ; développement, nouvelles enseignes ; animation du centre-ville ; friches commerciales ; association des commerçants.
L’intervention du maire
« Mon objectif est de favoriser le développement des commerces à Saint-Jean-d’Angély et cela ne sera possible que grâce aux efforts de tous. Je vous propose d’évoquer 4 objectifs :
1 - Augmenter le nombre et la qualité de nos clients potentiels
Je retiens plusieurs priorités :
- Attirer de nouvelles entreprises et créer de nouveaux emplois, soit 500 emplois. C’est plus de 2000 personnes supplémentaires sur la communauté de commune. A terme, la création d'emplois marchands et à valeur ajoutée augmentera la clientèle de notre commerce, à condition évidemment que les commerçants de centre ville sachent la capter.
- Elargir la zone de chalandise en étant attractif par nos offres, nos animations et évènements culturels et sportifs. Cette zone pourrait potentiellement passer de 10000 à 50000 consommateurs.
- Assurer le développement touristique, il faut augmenter l’offre hôtelière pour pouvoir accueillir des tours opérateurs.
- L'offre du commerce de centre-ville est insuffisante : trop d'Angériens ne trouvent pas les produits dont ils ont besoin à Saint-Jean d'Angély et vont faire leurs achats dans les villes alentours.
- Le marché et la foire mensuelle ont un effet bénéfique important sur la fréquentation du centre-ville : aux commerçants de savoir en profiter, sachant par ailleurs que la Ville envisage d'augmenter les jours d'ouverture du Marché (nocturnes, journées spécialisées par exemple aux produits bio...).
- Densifier le commerce de centre-ville et attirer de nouveaux acteurs, notamment en attirant l'attention des franchiseurs et des enseignes sur les opportunités de notre ville, au milieu d'un canton de 53.000 habitants (Pays Vals de Saintonge..), et qui a des ambitions de croissance.
- Souplesse des jours et des horaires possibles d'ouverture, adaptables par exemple au calendrier festif de la Ville, contrairement à la grande distribution.
- La concertation est nécessaire pour que tout le monde soit ouvert en même temps : un rideau de fer baissé sur deux, donne une impression très désagréable au visiteur.
2 - Aménager le centre-ville
- La circulation dangereuse et le stationnement anarchique en centre-ville sont dissuasives vis-à-vis du consommateur, qu'il soit Angérien ou simplement de passage. Il faut tenir compte qu'en centre-ville, les voies sont étroites et les trottoirs encore plus, ce qui pénalise les piétons et notamment les personnes âgées ou accompagnées d'enfants en bas âge…
- Toutes les études montrent que les zones piétonnes permettent une augmentation du chiffre d'affaire des commerces situés dans ces zones, après une période d'adaptation aux nouvelles conditions de circulation, à condition qu'elles soient coordonnées avec une politique de stationnement : parkings de proximité gratuits, stationnement en centre ville ou bien interdit ou bien payant (coût éventuellement modulable).
- La signalisation est un élément important de l'image d'une Ville.
- Aménager, c’est aussi créer des espaces verts, trouver des solutions pour les friches en centre ville. Il faut demander aux propriétaires des commerces non utilisés de les transformer en lieu d’exposition.
- Aménager, c’est aussi embellir la ville avec le concours des balcons fleuris avec l’appui de tous les Angériens, améliorer l’éclairage public.
3 - Retenir les clients
Il ne faut pas craindre la concurrence : plusieurs commerces de produits identiques situés à proximité les uns des autres (en centre-ville par exemple) encouragent le consommateur à venir faire son choix ici plutôt qu'ailleurs, quand il est décidé à se procurer un produit. Les modifications du paysage urbain et du plan de circulation indispensables, nécessitent des études approfondies qui comprennent un volet de concertation avec la population et les commerçants.
Les commerçants doivent profiter de l'effet d'aubaine que constituent les animations culturelles, sportives, touristiques, promues ou accompagnées par la Ville. Le look des boutiques, leur facilité d'accès, leur éclairage ont un rôle important pour attirer l'attention du consommateur.
Il appartient aux commerçants de promouvoir collectivement et sans grand frais leur activité par des actions d'animation, de marketing et de publicité.
4 - Agir collectivement et solidairement
La ville doit assurer une concertation permanente avec les représentants des commerces de Saint-Jean d’Angély, faire jouer les synergies. Nous devons assurer une communication sur l’ensemble de l’arrondissement. Il faut concevoir et assurer des animations. Nous devons avoir une association des commerçants importante, active et dynamique, elle sera consultée et associée à ses décisions, notamment en matière d'urbanisme du centre ville, de politique de circulation de stationnement et de communication.
Pour conclure, le maire a encouragé toute action permettant l’animation du centre-ville entre les commerçants, les associations et la ville, y compris sous l’angle "communication" concluant : « J'appelle de mes vœux la création d'une grande instance représentative des différents commerces ».
Robert Dupard accueille Christian Damour et Jacques Javalot, présidents d’unions commerciales, Paul-Henri Denieuil, Jean-Claude Delaune, président de la CCI de Rochefort, Jean Doignon, président de la Chambre des métiers et l’artisanat de la Charente-Maritime
Contacts :
- Mairie de Saint-Jean-d’Angély - Place de l’Hôtel de ville - BP 82 - 17415 Saint-Jean-d’Angély - www.angely.net - Tél. : 05 46 59 56 56 - Fax : 05 46 32 29 54
- Directeur Général des Services - Jérôme Trinquier - jerome.trinquier@angely.net
- Responsable de la communication - Guillaume Guéroult - guillaume.gueroult@angely.net
Un entretien avec le maire
Considérant que nombre de commerçants tendent à dire que « le commerce à St-Jean, c’est foutu ! », nous avons rencontré le maire postérieurement à la réunion du 24 novembre, réunissant 200 commerçants à la salle Aliénor-d’Aquitaine.
Son objectif, attirer des entreprises et créer des emplois dans le commerce et l’artisanat est assorti d’un développement du tourisme « un attrait qui doit être reconnu ».
Développer des activités nouvelles et augmenter la zone de chalandise lui apparaissent inconditionnelles : « il faut passer de 10/15 000 clients à 50 000 clients. Examinez la zone de chalandise du marché : elle est importante, avec 15/20 000 clients. Celle de Bricomarché est de 30 à 50 000 personnes (alors que celle d’Intermarché est de 10/15 000). Il faut développer du commerce qui attire et créer des activités pour développer le chiffre d’affaires ».
Friches et parkings
Et le maire de rappeler que les friches commerciales (magasins vides, fermés et peints en blanc) sont une « démission », que la ville est à transformer pour développer l’emploi et redynamiser le commerce et le tourisme. « D’ailleurs, nous allons aménager les deux parkings existants (avenue du Port-Mahon vers le rond-point de la route de Saintes et celui du champ de foire) et en créer un troisième. » Probablement quelque part au nord-est (vers la friche de l’ancien garage situé rue Porte de Niort ?)
Pour le tourisme, il est évident que les camping-cars venant de Saintes ou d’ailleurs ont d’énormes difficultés à pénétrer en ville et à circuler dans des rues parfois trop étroites où de nombreux "timbres" en pierre et des voitures-ventouses séjournent. Les parkings seront alors les bienvenus !
Quid des voitures-ventouses ?
Le maire est pour une solution d’horodateur avec deux heures gratuites, sans possibilité de rester au même endroit si on est déjà enregistré à la place de stationnement. « Il faudra aussi que la police municipale puisse faire les contrôles nécessaires aux stationnements. Mais il faudra aussi créer un hébergement digne de ce nom, avec des hôtels en conséquence. Et puis faire un troisième marché nocturne, de 18 h à 21 h, avec des animations. Ce qui n’exclut pas de créer également un marché spécialisé bio. Je dis que des animations en centre-ville attirent un public ! ».
Dans son troisième message, le maire insiste sur la solidarité et l’union entre commerçants : « Tout se fera si on a une association représentative de l’ensemble des commerçants, qui sera d’autant plus puissante s’il existe des animations ! ».
Effectivement, à Saint-Jean d’Angély, il existe plus de 130 commerçants et… seulement 40 adhérents. La question de l’adhésion reste entière, mais elle ne peut être sans solution effective.
Magasin de confection place du marché.
Le marché en été, un samedi.
L’analyse de Jacques R commerçant
Un plan de circulation et des informations
Jacques, commerçant, a des idées sur la redynamisation du commerce en centre-ville, en accord avec les propositions émises par la municipalité lors de la réunion du 24 novembre. « Il faut aménager les accès, désenclaver les rues et générer des flux en centre-ville. Il faut donc effectivement revoir le plan de circulation, avec un parking gratuit à proximité (champ de foire) et un parking payant avec une franchise de paiement, place François-Mitterrand. Mais il faudra aussi éviter d’avoir des voitures-ventouses pour que les clients et touristes puissent stationner. Concernant le parking du champ de foire, on ne le voit pas ; il devra être réaménagé avec de vraies places de stationnement ; le balisage doit être revu rue du Tribunal et dans ces rues sinueuses dont l’étroitesse rebute : un bon fléchage incitera à y aller, tout en sachant que ce n’est pas un grand parking qui fera venir les clients ! ».
Des points d’accueil et d’information pour les touristes et entreprises désireuse de s’installer sont évoqués : « des rapprochements ont lieu entre les chambres de commerce et d’industrie de Rochefort, Cognac, Saint-Jean ou Saintes, et l’accord de fusion existe entre Cognac et Rochefort. Il faut des points d’accueil donnant aux entrepreneurs désirant de s’établir des informations précises sur les disponibilités existantes : locaux vides, surfaces de ventes, réserves existantes ; points d’accueil en CCI, mairie, association des commerçants. »
Des offres de services aux franchisés
Les franchises, qui s’attaquaient aux grandes et moyennes villes, s’attaquent maintenant aux petites villes. Saint-Jean-d’Angély a une population et un potentiel, mais elle a peu de franchisés (Cache-cache pour l’habillement femmes, Atol, Audika, Optic 2000, Yves Rocher). Que font la plupart des hommes ou femmes en habillement ? Ils vont à Saintes. Que font les ados pour s’habiller ? Ils vont à Saintes, Niort ou La Rochelle. Il manque des enseignes avec des marques et des tendances mode. C’est la même chose en parfumerie : il n’y a pas de parfumerie avec des marques en centre-ville ou à Intermarché (NDLR : par exemple il est impossible de trouver 1881 de Cerutti ou Calèche de Challimard et le client doit se rabattre sur Internet ou aller en grande ville…). Il faut dons élargir notre offre et faire nos offres de service aux franchisés pour qu’ils viennent.
L’association des commerçants
Evidemment le rôle du président de l’association est lourd ! Il doit être là pour répondre aux collègues, à la mairie. L’association et la Ville doivent être en synergie, tout comme avec la CdC et le Pays des Vals de Saintonge ou l’office de tourisme. La cotisation est trop élevée (130 euros) alors que les adhérebnts sont peu nombreux (une quarantaine). Il faut la diminuer en augmentant le nombre d’adhérents et ne pas mettre la charrue avant les bœufs : « n’attendez pas que l’association soit forte pour adhérer, mais adhérez pour la rendre forte ».
Rues coupe-gorge et concurrence
« La 1ère chose qu’on voit dans la rue de la Grosse-Horloge en arrivant du jardin public (ou de Saintes), c’est la longue devanture peinte en blanc de l’ancienne quincaillerie Bussy. Des années qu’elles est fermée en face le Maison de la Presse qui doit en être bien désolée. Avec la rue Pascal Bourcy, on a vraiment l’impression de tomber dans un coupe-gorge ! Il faut absolument remédier à cela et trouver n’importe quelle solution qui e peut être pire. Et ne pas avoir non plus peur de la concurrence. Comme le bon stress, la concurrence est un élément moteur et n’est pas malsaine.Le commerce est meilleur quand il y a plusieurs magasin similaires. Il y a plus de ventes quand deux magasins de chaussures sont proches ou que les restaurants se touchent. Regardez les concessionnaires auto qui sont regroupés ! Des magasins regroupés sont comme les rayons d’un grand magasin où il y existe toutes sortes de yaourts ! Il ne faut pas non plus avoir peur de la grande distribution et nous devons nous démarquer en revoyant notre accueil et des horaires d’ouverture attirants : ça manque cruellement ! ».
Boulangerie rue de l'Hôtel-de-Ville.
L'ancienne quincaillerie Bussy.
L'opinion de Florence, commerçante
Circulation et stationnement
« L’idée des parcmètres est une mauvaise idée ! Les horodateurs coûtent cher, subissent des dégradations et stressent les clients, même avec une franchise de paiement. Il faut des parkings gratuits en éliminant les voitures-ventouses. Je suis pour une zone semi-piétonne car nous sommes une trop petite ville pour disposer de rues piétonnes. » Allusion non déguisée aux rue Alsace-lorraine de Saintes ou rue du temple à La Rochelle.
« La quincaillerie Bussy, je ne l’ai jamais connue ouverte. Les clients s’en plaignent beaucoup, avec ses 400 m2 de friche qui sont la première image reçue lorsqu’ils entrent dans Saint-Jean par la rue de la Grosse Horloge. Il faut absolument faire quelque chose en ce qui concerne ce "décor" absolument rebutant, par exemple avec des plans de visites, des panneaux décoratifs, des branchages pour les Noël, etc. Et en cette période de fêtes de fin d’année, la vitrine est encore plus rebutante ! C’est vraiment la verrue de Saint-Jean et ça ne donne pas envie de venir ! Un restaurant indien doit bientôt ouvrir à proximité mais on ne va plus voir que Bussy dans la rue principale de la ville ». Voir article sur Le Popsy’s
Des commerces qui manquent
« Il manque des commerces vestimentaires pour les jeunes. Il existe deux collèges et deux lycées mais cette population n’est pas prise en compte. Les gamins de 15/16 ans vont à Saintes. Bien sûr il y a Cache-Cahe pour les filles mais il manque des vêtements ados (style magasin Jules).
En parfumerie c’est la même chose : il en manque une en centre-ville, avec des marques qui sont demandées. Du genre Marionneau, Sephora… Moi-même, j’achète mes parfums sur Internet parce que je n’ai pas le temps d’aller à Saintes, là où vont les clients ! C’est quand même dommage de procéder ainsi, car j’achète en principe à Saint-Jean. Mais là, ça pêche ! »
Terrasses et marché
Ce qui choque aussi Florence, c’est que Le Petit Bouchon doive rentrer sa terrasse les jours de marché ! « Il faut trouver une solution pour une terrasse permanente. Il ne reste plus beaucoup d’activités de ce genre autour des halles et du marché. Il faut redéployer ce qui existait auparavant et le développer, d’autant que deux pharmacies viennent de se déplacer. Encore une question de stationnement … ».
L’opinion d’un chef d’entreprise
« Chacun peut et doit s’exprimer sur la dynamisation du commerce. Nous avons tous nos préoccupations en entreprise, mais il faut agir et créer des actions originales et efficaces. L’association des commerçants doit aider à cette démarche. C’est son rôle. Les consommateurs angériens ont également des idées et doivent formuler leurs suggestions ou leurs critiques pour créer une dynamique et faire avancer la ville ».
Au marché, un samedi matin.
Rue des Bancs : quand le numérique tue l'argentique.
Le portail des commerçants saintais
Mes courses à Saintes
Les trois associations saintaises (Saintes shopping, Saintes Parc Océan et l’Association Saintes Rive Droite) ont décidé de se regrouper pour créer, avec le soutien de la ville de Saintes, un site Internet officiellement lancé depuis le 8 décembre à l’Espace Mendès-France : la devise de www.mescoursesasaintes.com est d’ailleurs : « profitez des bonnes affaires et des promotions. Toute l’actualité commerciale en en un seul clic ».
C’est le premier site Internet de l’offre commerciale saintaise, un service gratuit pour les professionnels souhaitant y figurer avec logo, photo, coordonnées, localisation et descriptif de l’activité. Mais c’est auusi un service où le commerçant pourra acheter des pages personnalisées ou y créer un blog. Ce site pourra ainsi mettre en valeur un millier de commerces et services de Saintes et périphérie pour une zone de chalandise de 110 000 personnes.
Les commerçants saintais ont déjà reçu leurs identifiants pour mettre à jour leurs coordonnées et peuvent désormais souscrire aux options qui leur permettront de se mettre en avant.
Partenaire du projet, la Ville prend en charge l'affichage dans une vingtaine de sucettes sur les trottoirs de l'annonce de l'ouverture du site ainsi que l'impression de "flyers" qui seront distribués chez les commerçants à destination des consommateurs. Ils ont proposé également l'organisation de la soirée de lancement officiel de "mescoursesasaintes.com" le 8 décembre à 19 h 30 au Hall Mendès-France où tous les commerces et services ont été invités. Une soirée permettant de présenter tous les outils pour promouvoir les activités commerciales. Un site où les associations de commerçants pourront une fois de plus démontrer la force de leur union.
Autre partenaire, Virgin Radio qui diffuera 80 spots répartis en huit annonces par jour sur les ondes pour promouvoir l'ouverture du site.
Quant au client, il pourra suivre l’actualité commerciale, découvrir les nouveaux produits, consulter les offres de services et les annonces immobilières, bénéficier de bons d’achat, profiter en avant-première de promotions et même de consulter des petites annonces. Des achats en ligne seront également proposés au cours du premier trimestre 2009.
Le portail des commerçants saintais : site www.mescoursesasaintes.com
courriel contact@mescoursesasaintes.com
Le portail des entrepreneurs du Pays Santon http://www.clubpse.eu/
J'ai appris, depuis cet article qu'un site Internet était en place pour les commerçants angériens.
Ce sera l'objet d'un prochain article. Le site s'appelle www.boutiquesdesaintjean.com