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  • : Le blog de Bernard Maingot
  • : Articles et photos : Actualité sur le canton de Saint-Jean d'Angély (17400), Saintonge, Aunis, sujets divers.
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  • Bernard Maingot
  • Correspondant de presse. Curieux et passionné, j'aime la photographie, l'écriture et transmettre aux autres ce qui m'attire. "On se lasse de tout, excepté d'apprendre" (Virgile).
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Bernard Maingot

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 16:30

Lundi 11 octobre 2010 – Billet 2125 » Photo Bruce Pierson

Les 73 articles "Cinéma Théâtre Spectacles" sont ICI

SAINT-JEAN-D’ANGÉLY- ASSOCIATION ANGÉRIENNE D’ACTION ARTISTIQUE

Bohringer seul en scène

salle Aliénor-d’Aquitaine

Le comédien-écrivain jouera, mardi soir 12 octobre, une lecture personnelle : « Traîne pas trop sous la pluie ».  

20101012 Richard Bohringer - Crédit Bruce PiersonRichard Bohringer. Crésit Photo Bruce Pierson.

Lire la suite

 

Son parcours

Très tôt, Richard Bohringer décide de se consacrer à l’écriture. Sa première pièce, « Les Girafes », est produite par Claude Lelouch. En 1970, il intègre le monde cinématographique avec un premier film de Gérard Brach « La Maison ». Deux ans plus tard, il obtient un rôle significatif dans « L’Italien des roses », de Charles Matton. L’année 1981 impose définitivement l’acteur grâce à « Diva » de Jean-Jacques Beineix. Dès lors, il accumule les rôles, partageant l’affiche avec de grands noms. En 1984, il obtient le César du meilleur acteur dans un second rôle pour le film « L’Addition » de Denis Amar.

En 1987, c’est une véritable consécration : il rafle le César du meilleur acteur pour son rôle dans « Le Grand Chemin » de Jean-Loup Hubert.

En 1991,  « Une époque formidable » de Gérard Jugnot confirme le talent de l’acteur. Après « Tango » en 1993, l’acteur se fait plus rare. Il se tourne vers la télévision : « Mauvais genres » (2001) et « Total Khéops » (2002). Il publie ensuite des récits de voyage : « L’Ultime conviction du désir » (2005), « Carnet du Sénégal » (2007), « Bouts Lambeaux » (2008).

En 2006, il transpose au cinéma son livre « C’est beau une ville la nuit » (1988). Après l’écriture de romans, Richard Bohringer s’est également essayé à la chanson. Trois albums sont sortis entre 1990 et 2002.

Extraits de Presse

La Nouvelle République

« Il nous fait partager sa sensibilité d’ « écorché vif », sa tendresse, son humour aussi. »

La Charente Libre

« Inoxydable et toujours là on ne l’attend plus. »

Le Parisien

« Un savant mélange d’improvisation et de textes fait de ce spectacle un hymne à la vie magnifique. Un moment rare de théâtre. »

Bohringer parle de lui

« J’ai appris à écrire sous une tonnelle de roses blanches débouchant sur un potager fleuri où les vers acides des poireaux se mêlaient aux rouges anémiés des carottes trébuchantes. J’ai appris à écrire sous une tonnelle blanche la nuit, dans le silence, à la limite du cri, et mon cœur battait aux rythmes des mots jetés comme des paysages dont la flamboyance me laissait pantelant…

L’écriture est la seule vérité. Etre vertical. Jeter les germes de l’amer. Trouver le son qui fera rebondir. L’inspiration court comme un nuage. Vite et sans remords. Le désespoir d’écrire devient cristal. Les cannibales de la mémoire font tomber les larmes sur le clavier. Ecrire. Dieu païen, aide ton serviteur. Donne-moi l’oiseau bariolé. Celui qui aide à souffler la page blanche. Ma révolte. Mon drapeau d’amour.

Je veux écrire de la musique avec les mots. Je veux être guitare héros… Je suis pas un gars de la syntaxe. Je suis de la syncope. Du bouleversement ultime. Je me fous du verbe et de son complément. Faut pas faire le malin avec les mots. Faut les aimer. Ca file du bonheur les mots. »

 

Traîne pas trop sous la pluie est un voyage au pays de sa mémoire, un road-movie dédié à l’Afrique, aux amis, morts ou vivants, aux femmes, à l’alcool, aux errances.

Tel un boxeur sur le ring, l’émotion à fleur de peau, il nous fait voyager de textes en textes, dans cette atmosphère que lui seul sait créer.

 

Durée du spectacle : 1 h 45                                                        

 

Mardi 12 octobre à 20 h 30, salle Aliénor-d’Aquitaine

Tarifs : Abonnement ou 23 € / 19 € / 12 € / 7 €

Renseignements / Billetterie : 05 46 59 41 56

Réservations :

Au bureau de l’A4, Abbaye Royale (cour d’honneur), du mardi au vendredi de 14 h à 17 h 30 ou à l’espace culturel du centre Leclerc.

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commentaires

M
<br /> <br /> Ha ba ça c'est malin. Je suis mort de rire !<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> faut pas... faut pas !<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> J'adore ce mec ... Tu ne sais pas s'il passe près d'Auch ?<br /> <br /> <br /> <br />
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B
<br /> <br /> Alors là tu me poses une colle !<br /> <br /> <br /> Je réponds " Auch sait pas trop où il passe!"<br /> <br /> <br /> <br />